et voilà, je suis enfin en Irlande !

donc changement de blog...

Ah, les joies du travail en groupe... Finalement, c'est assez révélateur sur les personnes.

Il y a toujours au moins une personne qui prend les choses en main, qui regroupe les idées, fait le tri dans les idées... C'est le rôle le plus difficile dans un groupe, parce qu'au final, en cas de problème, c'est à cette personne qu'on s'en prend. Faut avoir l'âme d'un médiateur, d'un chef, d'un commandeur, un peu tyran sur les bords, sûrement... Mais ce que certaines personnes ne voient malheureusement pas, c'est que sans ce médiateur, le travail n'avancerait pas. Et donc, le pauvre médiateur, à part se prendre les critiques négatives, ne connaît que rarement la joie d'un merci, ou la reconnaissance de son "talent", de son utilité...

Juste en dessous du médiateur, il y a ceux qui ont toujours plein d'idées, qui aiment participer, qui n'ont pas peur de dire des conneries, ni que leurs idées soient rejetées. Ce sont des personnes qui savent comprendre les décisions du médiateur. Sans ces personnes, le médiateur n'est pas grand chose. Ces personnes connaissent la définition du travail en groupe, et savent s'investir.

Et il y a les autres. Ceux qui ne s'investissent pas ou peu. Soit parce qu'ils n'ont aucune idée, soit parce qu'ils n'ont aucune confiance en eux, et ont donc peur de voir toutes leurs idées rejetées. Ce qui est dommage, avec ces gens-là, c'est qu'ils sont pourtant capable d'avoir de très bonnes idées, mais qu'il faut les leur arracher. On ne sait jamais trop ce qu'ils pensent, ils se conforment souvent à l'avis général.
Ils ne voient que rarement le rôle du médiateur. A leurs yeux, le médiateur n'est qu'un tyran, c'est celui qui les opprime ! Ouh, le méchant !

Bon, il arrive qu'un travail en groupe se passe très bien. Si, si, je vous jure, ça peut arriver. Et puis y a quand même des bons moments dans un travail de groupe. Enfin peut y en avoir...

Mais pour qui tu te prends, à me manquer de respect ? Oui, je suis une p'tite jeune. Et alors ? Si je suis là, c'est quand même pour une bonne raison. Et si je te dis que quelque chose se fait comme ça, parce que c'est dans le règlement, c'est sûrement parce que je le connais le règlement, tu crois pas ?

Pour qui tu te prends à me regarder de haut ? Et pour qui tu me prends ? Une petite secrétaire de merde ? Ou une étudiante qui n'a rien d'autre à foutre de ses vacances que faire des permanences pour accueillir les joueurs pendant le tournoi ?
Je te rappelle que je suis dans le même club que toi, et qu'en plus de faire des tournois, je donne aussi des cours de tennis, et je suis arbitre de chaise. Donc la prochaine fois, avant d'ouvrir ta grande gueule bouche, tu te renseignes, ok ? Et j'en ai strictement rien à cirer que ton gamin fasse partie des espoirs du club. Tu ferais mieux de lui apprendre la politesse, tiens. En même temps, on peut pas dire qu'il ait le meilleur exemple à la maison... m'enfin.

C'est si compliqué de dire "bonjour", "merci", "au revoir" ?

Il vaut mieux exceller en une chose que d'être médiocre en plusieurs.

[Pline le Jeune]

La franchise ne consiste pas à dire ce qu'on pense, mais à penser ce qu'on dit.

[Coluche]

J'ai passé le cap des 100 messages !

Et donc, évidemment, pour fêter ça, je poste un message complètement inutile...

Et alors ?

Si deux hommes sont d'accord sur tout, c'est qu'un seul des deux pense.

[Lyndon Johnson]

Pourquoi se rend-on toujours malade pour des choses insignifiantes ? C'est vrai, quoi. Après tout, pourquoi toujours se soucier de ce que les autres pensent de vous ? Certains ne vous aiment pas ? D'autres vous font passer pour ce que vous n'êtes pas ? Ils ne voient pas qui vous êtes réellement ? Ils ne s'intéressent pas à vous ? Et alors, la belle affaire ! Qu'est-ce que vous comptez y faire ? Essayer d'intéresser des gens qui n'en ont rien à faire ? Essayer de montrer votre vrai Vous à des gens qui sont incapable de voir plus loin que le bout de leur nez ? C'est une perte de temps inutile. Et ça ne sert vraiment à rien de se rendre malade pour si peu !
Les vrais amis, eux, n'ont aucun doute sur qui vous êtes, ils vous voient tel que vous êtes réellement, et c'est bien là le principal !

Apprends à être patient avec les fautes des autres, car tu as aussi beaucoup de défauts que les autres doivent supporter

[Thomas von Kempen]